Nos experts en agronomies , gestions de projets et économies apportent le plus grand soin à vous accompagner en :
– Analyses sectorielles des filières agricoles
– Audit (agriculture durable, agriculture biologique)
– Hygiène publique
– Agro chimique;
– Etudes socio-économiques.
La fonction études socio-économiques regroupe les cadres chargés de la réalisation d’études quantitatives ou qualitatives, destinées à éclairer et/ou résoudre des questions sociales, économiques, financières, politiques, etc.
L’étude socio-économique se structure en trois grandes étapes :
• cadrer l’étude : définir le sujet (champ d’étude) et choisir la méthodologie d’intervention (qualitative, quantitative, recours à des prestataires, budgets, délais…),
• analyser les données : collecter, organiser et exploiter les données pertinentes (sociales, économiques, financières, données d’enquêtes, etc.), pour apporter un éclairage » scientifique » à la problématique de l’étude,
• restituer les résultats : synthétiser les données, rédiger un rapport d’études et éventuellement établir des recommandations pour le commanditaire. Parfois, le chargé d’études peut accompagner la mise en œuvre de ses préconisations.
La finalité des études est variable, elle peut concerner :
• L’information généraliste et la réponse à des besoins opérationnels (appel d’offre, consultation). Les chargés d’études économiques ou socio-économiques exercent dans des organismes d’études (recherche, instituts de sondages, sociétés de conseil…). Dans les collectivités territoriales ou les grandes entreprises disposant de services dédiés, ils étudient les opportunités de développement local ou économique.
• L’information spécialisée et l’analyse d’impact. Les thèmes d’études dépendent du domaine d’activité du commanditaire. Les cadres de la fonction études socio-économiques travaillent dans les structures associatives, syndicales, ou dans des organismes consulaires (chambre de commerce et d’industrie, etc.). Les profils techniques, par exemple le chargé d’études environnement, exercent dans des bureaux d’études ou des sociétés d’ingénierie.
• La prévision. Ce champ d’action transversal aux deux précédents, se réfère à l’étude statistique. Il concerne essentiellement les postes de chargé d’études actuarielles ou d’études économiques (statisticien), présents dans la banque-assurance. Aides à la décision, ces cadres réalisent des projections sur des évolutions conjoncturelles ou structurelles à plus ou moins long terme.
Les urbanistes gèrent la conception et l’évolution de la vie urbaine, ils aménagent les agglomérations et le territoire.
Dans le cadre de leurs missions, ils sont chargés de :
• élaborer le programme d’aménagement et de réaliser les études nécessaires à sa planification (étude du plan d’occupation des sols, des modes de vie, …),
• conseiller les élus sur les aspects règlementaires (droit des sols, obtention des certificats d’urbanisme, permis de construire…), en amont (cadrage du projet) comme en aval (vérification de la conformité).
Plusieurs intitulés spécialisés de métiers se réfèrent à la fonction d’urbaniste. Le chargé de mission ou le chargé d’étude environnement se dédient aux problématiques environnementales. Les métiers de responsable de projet en renouvellement urbain, de chargés d’études en urbanisme et en aménagement se focalisent sur les phases d’investigation et de programmation.
Les urbanistes exercent dans des cabinets d’études, les services publics, ou dans des organismes parapublics. Ils sont également nombreux à posséder leur propre cabinet d’études. Une grande majorité des offres se trouvent dans le secteur de l’ingénierie et de la recherche et développement.
– Gestion de la protection phytosanitaire
Nous vous proposons des supports permettant de :
– Respecter les conditions d’utilisation des produits phytopharmaceutiques respectant les « bonnes pratiques agricoles » afin de limiter les risques liés à l’environnement (transport, stockage dans le local phytosanitaire, préservation des abeilles, gestion des fonds de cuve et des effluents, contrôle du pulvé)
– Garantir à l’utilisateur des produits phytopharmaceutiques une sécurité maximale (stockage dans le local phytosanitaire, préparation de la bouillie et pulvérisation, DAR et DRE, Equipements de Protection Individuelle).
– Mieux gérer l’élimination des produits en fin de vie .